Palerme, Sicile

Mardi, Novembre 6, 1928

Nous sommes arrivés a Palerme à huit heure et demi. Avant d’arriver, le soleil a ascendu de l’eau bleu de la Méditerranée en une grande balle de feu rouge, donnant les nuages une tiente à beaucoups des couleurs. Les grandes montagnes de la Sicile ont paru en la distance, croyant plus grandes rapidementes. Bientôt nous sommes entrés dans le havre et voilà resta la belle Palerme dans une amphitéâtre des montagnes.

Quand j’avais trouvé un très bon hôtel, Le Panormus, George et moi nous sommes promenadés autour de la ville, visitant la cathédrale intéressante. Alors après manger de spaghetti nous avons courru pour le bateau et quelques moments après, il a fait voile à la Tunisie.

J’ai senti très délaissé pour quelques moments après, mais ce ne puis pas durer pour il y a Monte Pellegrino à escalader. La longue allée était très escarpé et a serpenté en amont a la ronde des pierres et à travers du ”cactus.”  L’allée n’est pas allée au sommet si je l’ai quitté et escaladai sur les côtes pierrement au haut. Je n’ai rien vu un vue si marveilleux. Palerme était debout dans la vallée loin au-dessous, entouré des montagnes. La plus belle Méditerranée a posé au pied. Loin dans la distance on peut voir le feu ascendant du Monte Etna. Ce soir je me couche à huit heures.

Comments are closed.